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Publié le 26/12/2011 à 17:13 par milko

IL a lu ma lettre d'adieu, It's close to be time to leave

Epilogue

Publié le 26/12/2011 à 14:56 par milko Tags : amour suicide au revoir

Epilogue

 

Te souviens tu de nos ballades ? Entre les éoliennes ?

De ma twingo trop petite pour y mettre ton vélo ? La clef pour démonter les roues y siège toujours…

Je ne sais pas quoi te dire, je ne comprendrais jamais le pourquoi je crois que tu ne le sais pas vraiment non plus …

 

Je n’ai pas pu tout faire, même pas te payer des chaussures d’hiver toi qui traine toujours avec ces petites pompes en toile d’été … N’oses tu toujours pas en demander ?

 

Comment vas tu faire pour tes clopes ? Et ton avenir ? Comment vas tu l’égayer ?

 

Vas tu réussir à sortir de ta condition pour enfin rire, aimer et vivre ?

 

Moi je ne pourrais voir tout ça sauf d’ailleurs, de très loin de là haut.

La ou on observe sans pouvoir agir et finalement sans pouvoir te blesser …

 

Finalement je crois que je n’ai plus qu’un mot en tête : « Reviens »

 

Fred, qui t’aime

 

Levée de doute

Publié le 25/12/2011 à 17:03 par milko Tags : gay mère infidèlité cocu

Levée de doutes

 

Le lendemain matin, réveillé après une longue nuit difficile je décidais, sans texto de Milko, de couper la ligne, ma ligne que je lui avait prêté

Dans la foulée je refaisait faire une puce pour ce même numéro que j’inclut dans mon portable.

Et là, catastrophe, mes soupçons confirmés.

 

Non seulement Milko avait un autre copain, jeune, mais en plus il allumait tout le monde sur internet.

 

L’autre, fût surpris et très inquiet des éléments que je lui donnais.

Il apprit qu’il était venu devant chez moi (peut être même chez moi), que le vendredi précédent Milko avait bien son téléphone et qu’il était chez moi…

 

Combien de mensonges Milko ? Et toujours Pourquoi ?

On pouvait discuter de tout, j’aurais pu accepter bcp de choses venant de toi, pourquoi ne pas avoir essayé ? Pourquoi ne pas m’avoir inclus à ta vie ?

 

Les autres « relations » me demandèrent plutôt un rendez-vous …

 

J’ai reçu aussi un décompte en banque créditeur de 1000 €, est ce pour lui ? Il n’était censé n’avoir aucun compte en banque.

J’ai essayé de lui en parler et de redemander mon Iphone mais sa sœur me traite de tous les noms et sa mère aussi, comme si il était la victime de qq’un, alors qu’en fait il est assez mal dans sa tête pour enchaîner les conneries… Je crois que sa maman veut m’attaquer en justice, on se demande bien pourquoi… J’ai essayé de faire la partie du travail qu’ils ne pouvaient pas faire par méconnaissance de cause.

 

Je crois que je me suis fait traité de détraqué et autres fleurs, ça évite sûrement de se poser les bonnes questions… Comme si il ne fumait pas avant moi, comme si il était hétéro avant moi … J’ai juste essayé de l’aimer du mieux que j’ai pu et ne rien dire sur le HIV s’eut été facile et irresponsable de ma part. On ne peut pas toujours aller dans le sens des gens qu’on aime, et les laisser prendre des risques inutiles.

 

Milko pour toujours…

 

Demain la fin

Last night

Publié le 24/12/2011 à 16:04 par milko Tags : nuit gay chez moi famille noyon picardie

 

Last night

 

Rentré chez moi, la situation me pesait trop, malgré ses appels au calme et ma ferme envie de me shooter très fortement aux benzodiazépines jusqu’au bout il était là, petit père, à faire de son mieux, a me répéter qu’il ne me survivrait pas.

Moi j’étais dans un état de plus en plus second, usé, triste, abattu, replongé la tête sous l’eau dans mes angoisses d’abandon.

Je ne savais plus vraiment ce que je racontait je crois, il s’accrochait …

Pourquoi ? Pourquoi s’accrocher puisqu’il avait qq’un d’autre de son âge, pote de sa sœur, ou tout convenait mieux, rien à assumer en sus ?

Que pouvais je bien représenter pour lui ? Si peu de facilités matérielles, si peu de facilités tout court. C’était une relation complexe même si il s’en dégageait une certaine pureté dans mes sentiments, et une vraie volonté de bien faire.

 

Toujours est-il qu’au bout d’un moment il me dit que je n’étais rien, qu’un gros et vieux dont il avait pitié ; les choses étaient claires…

 

Rupture et désinhibition, cocktail détonnant qui ne m’a pas permis de me poser suffisamment de questions, j’ai envoyé un mail à sa sœur aînée, faisant partie du corps médicale, et qui, selon les dires de Milko, avait été mise au courant de son homosexualité par sa mère.

Je me suis donc dit qu’il pouvait y avoir « facile transmission de dossier » concernant son hypothétique séropositivité, de moi à elle… Le mail restait cependant prudent et demandait une certaine confidentialité vis à vis du reste de sa famille et de me contacter pour qu’on en parle…

 

Quelle triste fin …

la dernière semaine

Publié le 24/12/2011 à 15:31 par milko Tags : gay trompé cocu

La dernière semaine

 

Après s’être rabiboché, et dieu sait à quel point je le voulais, la semaine fût formidable bien que j’ai eu peu de temps pour moi sauf le vendredi.

 

On s’est appelé tous les soirs comme si de rien était jusqu’au jeudi soir mais quelle importance puisqu’on se voyait enfin une journée toute entière le vendredi.

Mes soupçons étaient réels et bien là mais noyés dans sa douceur et ses attentions.

 

Vint enfin le vendredi, j’étais un peu muet de part mes soupçons mais il était là il vivait à côté de moi et j’en étais heureux, j’étais dans une sensation d’apaisement absolu, presque éthéré par ses bisous.

Bien sûr le midi il alla déjeuner avec ses amis, je crois qu’il me demanda d’ailleurs qq euros pour ce. Comme je n’ai que rarement beaucoup de monnaie je ne sais plus de combien je l’ai dépanné mais quasiment rien. Encore une Fois Milko n’a jamais été un profiteur.

L’après midi il revint, trempé par la pluie, ses chaussettes au sèche linge, l’après midi fût calme, apaisant, sa présence seule me suffisait à ressentir un vrai bien être.

Curieusement il parti une heure plus tôt que prévu, et oublia de m’appeler le soir, ce que je n’ai pas relevé trop distinctement puisque j’étais moi même sorti chez une amie. C’était le second soir sans appel, mais le matin même je reçu un texto qui disait « Oh non, deux soirs de suite … »

Comme il a des problèmes de sommeil je suppose que des fois il s’endort assez vite, je ne pensais pas qu’il avait plusieurs coups de fils importants à passer tous les soirs.

Le samedi il devait aller à Compiègne, à la patinoire, avec sa sœur. Je suppose aussi avec son autre copain… C’est vrai que lui qui n’avait jamais le droit de sortir, sortait tard le week end et ne captait soit disant pas chez ses amis. Je suppose qu’il était occupé à autre chose… Mais comment ne pas lui faire confiance sur le fond ; il essayait de m’appeler dès qu’il rentrait même si c’était à 04h00.

C’est vrai que ce changement dans les autorisations de sorties me laissa qq peu dubitatif… En même temps il avait toute ma confiance et je me réjouissais, pour lui, de cette liberté chèrement acquise.

 

Mais lourds furent les soupçons dans ma tête, doublés par l’impatience de savoir et de comprendre. Et le dimanche fût le gros clash, le final, la catastrophe. (J’avais cependant retrouver un profil gay sur Facebook de lui avec plus de 1000 contacts…)

 

Je décidais d’aller dans son village récupérer mes affaires et les clefs de mon appartement.

Pour le téléphone ce fût plus compliqué il ne voulait rendre que l’appareil et pas la sim alors que je n’avait rien pour dissocier les deux (oui dans un Iphone la sim ne peut être enlevé sans un trombone).

Il sorti de la voiture, ou reste imprimée encore l’empreinte de sa chaussure sur la moquette, pour aller faire l’opération chez lui. A bout je décidais de quitter le village pour rentrer chez moi, dans un état très second.

 

Ses derniers mots pour moi furent « pffff » à la question « combien de fois tu m’as trompé ? » et « J’ai rien à me reprocher »…

Le premier clash

Publié le 23/12/2011 à 18:58 par milko Tags : soumission colère famille soeur gay

Le premier clash

 

J’étais parti en Vendée, avec une amie, rejoindre notre base-point aux Sables D’OLonnes.

Comme d’habitude Milko ne pouvait se joindre à nous.

Il lui aurait fallu une autorisation spéciale. Je lui en voulait parfois un peu de ça puisqu’il avait réussit à mentir à 16 ans pour aller voir son copain parisien de 36 ans.

 

Cependant les choses étaient honnêtes et c’était dans la droite ligne de ce que j’aimais chez lui, ou que je croyais aimer, mentir le moins possible (quelle erreur de ma part).

Après un apéritif bien arrosé on en est venu à parler de lui et dans un élan humoristique douteux, mon amie lui a envoyé un texto prétextant être un autre type mordu de lui. Je le pensais assez détaché pour prendre cela à la légère, de plus c’est qq’un de doux donc pas de crise à prévoir.

 

Au fur et à mesure de la conversation, j’ai fini par dire que ce personnage factice était un ami de sa sœur. Et la sœur en question appela au téléphone ou envoya un texto je ne me souviens plus vraiment.

 

J’ai récupéré le numéro de sa sœur et entamé une conversation par moments houleuse et par moment tranquille. Je crois que j’étais vraiment ravi de pouvoir parler à cette fille. Je devais inconsciemment avoir vraiment une envie essentielle de rentrer en communication avec l’univers de Milko et donc de sa famille.

Oui, j’en crevais d’envie…

 

C’est comme ça que j’appris que la sœur en question savait que Milko avait qq’un, et par rapport à la description faite d’elle par son frère je la savait trop curieuse pour ne pas savoir de qui il s’agissait. Ce n’était manifestement pas moi.

 

J’ai essayé de prendre sur moi mais je n’ai pas vraiment réussi. J’ai donc écris à sa sœur la nature de notre relation, et elle ne me crût pas du tout. Elle me demanda preuve sur preuve, Or de Photos de Milko je n’avait pas grand chose de tangible, une faite près d’une table dans son village et une de sa nièce qu’il m’avait envoyé, tout fière de me la présenter. Je lui ai donc renvoyé bêtement cette photographie en pensant qu’elle pourrait interpréter cela comme une certaine proximité avec Milko et un intérêt certain que j’avais pour son entourage.

En fait pas du tout, habitué au 20 heures de TF1 et autres psychodrames ordinaires des prime-times, il s’agissait forcément d’une délinquance qqconque…

 

Milko fou de rage que j’ai pu contacter sa sœur et que j’ai continué m’envoya une suite de textos qui mettaient fin à notre relation. J’avais brisé un serment, trahi sa confiance.

Je dois dire que j’étais un peu ahuri et toujours assez soupçonneux de ce cloisonnement excessif. On a du sûrement s’agacer mutuellement pendant qq heures à coups de SMS. Puis le lendemain matin les choses sont rentrés dans l’ordre.

Même si je savais que cette colère soudaine ne pouvait pas être uniquement le fait de sa sœur mais d’autres choses dont je ne percevais pas encore la portée.

 

Milko est un garçon influençable à l’extrême, son désamour de soi et la peut panique de ne pas être aimé par ses proches font qu’il obéît docilement aux choses et prend pour ordre tout conseil qui viendrait de son entourage. Car derrière ses grands yeux bleus et sa réserve il y a surtout une faille, facilement perceptible tant cela doit lui être douloureux. Je pense que cela est même savamment entretenu dans sa famille, comme manière perverse d’obtenir de lui ce que l’on veut.

 

On obtient pas ce que l’on veut des gens qu’on aime on prend ce qu’ils nous donnent comme un petit cadeau de tous les jours, et surtout on aime les gens comme ils sont on ne les manipules pas pour en tirer un profit qqconque.

 

Milko je t’aimerais toujours …

"Live To Tell"

Publié le 22/12/2011 à 22:53 par milko Tags : milko suicide mort

« Live To Tell »

 

C’est fou comme parfois qq madeleines de Proust viennent vous frapper.

Lors de notre première rencontre, une musique de Madonna passait à la radio, « Live To Tell » qui parle de mensonges trop lourds à porter, et d’inutile fuite.

 

Je ne crois pas beaucoup aux prémonitions, j’ai du faire trop de scientifique et de règlementaire dans ma vie, pour y donner un sens autre que celui du concours de circonstances.

 

L’amour que je lui porte est sans faille, même si je suis qq’un de pénible à vivre, qui exprime ses doutes. Si c’est moins facile à vivre je pense néanmoins que c’est plus constructif qu’un étalage de certitudes.

 

Je ne sais pas à quelle époque Milko à commencer sa double vie, à vivre dans deux réalités différentes qui ne devaient pas se croiser. Mes doutes sont nés d’un cloisonnement excessif des choses et furent accru par un texto de sa sœur.

J’ai presque envie de dire que ce n’était pas grave, j’en souffrais beaucoup et pourtant j’avais malgré tout une confiance en lui, alors je me culpabilisait en me disant que tout cela était du à une année pleine de doutes justement et que je n’avais pas la stabilité interne pour me débarrasser de ces qq idées.

De plus son discours sur le fait de tromper était sans appel «  si tu me trompes je te tue ». Me tuer, tu l’as fait en partie Milko, pourtant sans que je te trompe.

 

Je ne comprends pas le pourquoi de cette double vie, je me serais incliné, j’aurais continué à aider, il fallait m’expliquer même si je ne parais pas d’abord si facile que ça.

J’ai suffisamment d’amour pour toi pour ça, de celui qui passe les déceptions.

 

J’aimerais juste que tu répondes à cette question un jour : « Pourquoi ? »

 

« Les mensonges enchevêtrés, commandés les uns par les autres, n'inspirent pas l'envie. Pierrette Filion constate cependant, chez les adeptes d'une double vie, un sentiment de toute-puissance. «Du moins, tant que leur double vie est viable. Ça leur donne l'impression de tout posséder à la fois. Mais c'est jouer à quitte ou double. Pour conserver cette sensation de pouvoir, ils doivent toujours aller plus loin. Jusqu'à se faire prendre. Et là, tout s'écroule. C'est le déshonneur total.»

Hélas je sais très bien comment cela va finir, un soir sûrement dans un gros spleen entouré de qq unes de ses photos, son collier au cou, la bague que j’avais faite gravée pas loin … et puis s’endormir, dans une dernière ivresse, pour longtemps, très longtemps dans cet appart qui n’est qu’un souvenir de sa présence.

 

Faona

Publié le 22/12/2011 à 12:57 par milko Tags : chien gay amour

 

Faona

 

A force de compléter un peu le quotidien, cela finit par devenir suspect, non sans bienveillance sa sœur demande comment Milko peut il fumer sans un rond en poche.

Evidemment je laisse libre accès à mes cartouches (oui j’aime pas aller tous les jours au tabac), et ce n’est pas la meilleure idée que j’ai eu, puisque je pense qu’il fume pas mal depuis que j’ai aménagé dans le secteur (fallait bien que je loge qq part).

 

Alors une petite rumeur sort de l’imagination et si Milko dealait pour obtenir ses cigarettes… Ouille, non rien de tout ça, c’est un garçon sage.

Bon que faire ? L’idée n’est pas géniale puisque au lieu de juste améliorer le quotidien il fume pas mal quand même je trouve. Enfin cela reste raisonnable ; on est loin du paquet par jour.

Il ne s’agissait pas non plus de passer de ça à rien, et en même temps Milko ne fume rien d’autre que du tabac, en tous cas il s’en défend, ne picole pas ou peu, il n’y a pas de drame.

Bon prenons l’excuse qu’il promène ma chienne husky et qu’il se paye en clopes en contrepartie.

 

La chienne n’y est pour rien mais au moins ça lui fera une promenade supplémentaire le cas échéant.

Finalement il ne l’a promené qu’une fois, je lui ai laissé sans pb j’ai toujours une confiance aveugle en Milko, je lui laisserais ma carte bleue sans hésitation et d’ailleurs même encore maintenant. Il n’est ni voleur, ni taxeur (au mieux qq euros pour aller au Kebab avec ses amis) franchement je ne crois pas qu’il y ai matériellement plus honnête

 

Bon cette promenade fut un peu un drame dissimulé car j’allais me rendre compte qu’il allait la ramener en présence de son autre « copain » en plus de ses amis et de sa sœur.

Il me ramène donc notre « excuse » avec les habituels bisous par trois. Dur un peu quand ton « autre » t’attend au pied de l’appartement, dehors. Mais je comprends mieux pourquoi maintenant, parce que chez moi on vient sans soucis prendre le café, qui qu’on soit…

L'aménagement

Publié le 22/12/2011 à 10:29 par milko Tags : moi travail belle voyage

L’aménagement

 

Ce fût long pour trouver un appartement, déjà parce que mes disponibilités pour des visites étaient très limitées, ensuite parce que l’agence trainait un peu la patte.

 

Mais bon fin septembre ce fût fait, j’allais pourtant mettre un bon mois avant de pouvoir faire un voyage avec mes meubles. Pendant ce mois j’ai passais pas mal de temps la bas, sur un bout de matelas. Pas confortable mais dans nos métiers on a l’habitude des couchettes des tours bus et du manque de sommeil.

 

Milko pouvait donc compter sur une « base arrière », il avait les clefs, qu’il avait accrochées à un porte clef en éventail, souvenir de voyage d’une de ses sœurs.

Il allait et venait un peu comme il voulait, que je sois là ou pas, d’ailleurs j’ai été absent pas mal de temps, ça lui faisait au moins un endroit ou regarder la télé.

 

Le jour de l’emménagement, il est venu prêter main forte, nan sans que j’eusse insisté, et c’est comme ça qu’il pu rencontrer mon frère et ma belle sœur.

Il ne pouvait pas porter, souvenir d’une fracture du poignet, mais bon il avait fait tout le ménage sans que je demande rien ; bref il participait à sa façon.

 

Il a toujours eu le cœur sur la main avec moi, c’est pour ça que j’ai mis du temps probablement à soupçonner quelque chose bien que mes 12 années de spectacle m’aient appris à détecter les mensonges et les autres arrangements avec la réalité.

On a passé une après midi sympa même si physique…

 

Peut être s’est il senti coincé à partir du moment ou j’avais déménagé, je ne sais pas, comme d’habitude il n’est pas facile de connaître ses réserves sur un sujet, un fait, un acte, à moins de le questionner sans relâche.

 

Il savait pourtant que je voulais habiter le coin pour d’autres raisons, professionnelles entre autres puisque j’étais du bon côté de Paris par rapport à la quantité géographique de travail ….

Voila ma vie maintenant

Publié le 21/12/2011 à 23:52 par milko

Empty spaces - what are we living for ?
Abandoned places - I guess we know the score 
On and on 
Does anybody know what we are looking for ? 
Another hero, another mindless crime 
Behind the curtain, in the pantomime 
Hold the line 
Does anybody want to take it anymore ? 

[Chorus] The show must go on 
The show must go on 
Inside my heart is breaking 
My make-up may be flaking 
But my smile still stays on 

Whatever happens I'll leave it all to chance 
Another heartache, another failed romance
On and on
Does anybody know what we are living for ? 

I guess I'm learning (I'm learning)
I must be warmer now 
I'll soon be turning (turning) round the corner now 
Outside the dawn is breaking 
But inside in the dark I'm aching to be free 
[Chorus]

My soul is painted like the wings of butterflies 
Fairy tales of yesterday will grow but never die 
I can fly - my friends

The show must go on 
The show must go on 
I'll face it with a grin 
I'm never giving in 
On with the show 

I'll top the bill
I'll overkill
I have to find the will to carry on
On with the show - On with the show 
The show must go on.